Comme beaucoup de réalisateurs, Todd Solondz a commencé sa carrière sur les chapeaux de roue...pour s'écrouler par la suite (bon ok, je n'ai pas vu tous ses films). Après Bienvenue dans l'âge ingrat et le culte Happiness, on pouvait espérer mieux. A l'instar de Dupieux avec l'absurde, il s'est fait spécialiste du cynique dépressif. Avec donc le même manque de réussite. Life during wartime était déjà assez décevant. Cette fois-ci c'est complètement raté...
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