Évidemment, on retrouve le schéma Audiard : réalisme poignant, à la limite du documentaire, visages sales et pâles, fatigués par la vie si dure que les personnages mènent. Certes. Et après? Je crois que tout est dit, 4 scènes de cul, deux trois scènes de violence, une scène vraiment poignante, et puis un "je t'aime" à la fin, lui par contre, pas si mal placé. C'est vrai qu'au fond. Enfin tu vois quoi. Ouais voilà.
NoraBart
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le 29 juin 2012

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NoraBart

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