Il dérouille, éros
Autant dire qu’avant de m’y mettre, j’avais le cul entre deux chaises (roulantes). Sur l’étagère "à priori berk": un pitch improbable, Marion Cotillard dompteuse d’orques infirme (infirme, on est...
Par
le 12 nov. 2012
62 j'aime
8
Créée
le 18 sept. 2012
Critique lue 246 fois
D'autres avis sur De rouille et d'os
Autant dire qu’avant de m’y mettre, j’avais le cul entre deux chaises (roulantes). Sur l’étagère "à priori berk": un pitch improbable, Marion Cotillard dompteuse d’orques infirme (infirme, on est...
Par
le 12 nov. 2012
62 j'aime
8
J'ai pas forcement envie d'être dur avec ce film et pourtant je crois qu'il faut tarir d'éloge à son sujet. Au sujet de son développement si étiré, avec beaucoup de redondance. On ne saurait taire...
Par
le 31 mai 2012
56 j'aime
8
Le voilà enfin, le rôle de sa vie. Enfin, Marion Cotillard nous scie les pattes ! L'ORQUE, IDEE SAUVAGE Stéphanie est jeune et jolie (si, arrêtez avec les insultes maintenant, elle est souvent...
Par
le 25 avr. 2013
54 j'aime
7
Du même critique
Ecouter ces paroles cristallines et rebelles plus de 70 ans après leurs premiers cris, reste un devoir de compréhension du comportement humain confronté à l'insupportable ou soumis aux discrets...
Par
le 15 févr. 2013
1 j'aime
La colonisation ne peut se départir de la sauvagerie pour imposer aux peuples colonisés sa pratique religieuse et ses multiples prélèvements économiques. De cette Union Indochinoise conquise de haute...
Par
le 15 févr. 2013
1 j'aime
1
Magnifique collection d'audaces cinématographiques en Arabie Saoudite, Wadja nous captive avant tout par la découverte de ses univers sociaux si cloisonnés et inaccessibles aux occidentaux. Les...
Par
le 15 févr. 2013
1 j'aime