Deadpool, ou l’art de tourner autour du pot (de chambre)… Il faudra dire à Marvel qu’il existe des suicides plus rapides, plus économiques et moins bavards.
Visiblement, chez Disney, on aime se mettre un doigt dans le MCU lors de longues séances de brain... anal-storming. En ressort ce qui devait en ressortir : tout est visible et audible à l’écran. Seul l’odorat du spectateur est préservé.
Nous avons rarement vu une telle concentration de protagonistes atteints du syndrome Gilles de la Tourette au cinéma. Epuisant ! Cette tête à claques de Deadpool ne brise pas seulement le 4e mur, il nous les brise aussi. Il est grand temps qu’il ferme son claque-merde. Pet à son âme.