« Je tire pas pour tuer, mais pour survivre. Quand ça chauffe, où est la police ? »

Les gens comptent sur la police pour assurer leur sécurité. La police arrive après la bataille. C’est comme si, on attrapait le renard quand il ressort du poulailler.

Après un cambriolage qui a derapé, l’épouse de Paul décède et sa fille se retrouve dans le coma. Face à l’inertie de la police, il décide de se faire justice lui-même.

Le protagoniste, un chirurgien exemplaire, est un paradigme d’héroïsme car il sélectionne ses victimes avec philanthropie. C’est également un léger pamphlet envers le Net étant donné qu’il apprend à manier son arsenal grâce à celui-ci et envers le port d’armes démocratique en déclarant qu’il n’est refusé à personne. Le métrage a l’excellente idée d’intégrer des émissions radiophoniques où l’animateur demande l’avis de la plèbe. On décèle l’appétence du réalisateur pour le gore parce que même les exécutions à l’arme à feu le sont.

Trilaw
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le 26 oct. 2024

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