En plus d'être un véritable mystère, ce Demonic est avant tout et selon moi l'une des anomalies les plus détonantes que j'ai pu voir, depuis un nombre d'années que je n'ose essayer de compter tellement ça me subjugue.
Le cachet des trois longs métrages du type était tel qu'il me semblait impossible de le voir merdouiller sombrement sur quoi que ce soit d'autre, moi qui prend énormément en compte ce genre de détail pour sélectionner judicieusement ce que je regarde afin de ne pas sentir que je perds du temps, et même si j'ai parfois ou souvent été déçu, c'est difficile d'avoir souvenance de chef doublement étoilé de la connerie artistique.
Même si pour l'actrice principale c'est comparatif de carton de sans-abris, que lampe torche dans couloir sans électricité sur petite voix mireille est aussi enthousiasmant que les effets numériques de Rampage après avoir vu tous les films de monstres de ces dix dernières années, je crois que le plus ébouriffant est d'essayer de créer un semblant de frayeur dans une simulation virtuelle aussi piquée que la mouche en plastique de Mandibules, sans la Taureau émotion.
Catastrophique dis donc.