Korean rapsodie
En 2013, lorsque Bong Joon-Ho et Park Chan-Wook avaient traversé le Pacifique pour rejoindre l'usine à mauvais rêve Hollywoodienne, on craignit alors un occidentalisation décevante des meilleurs...
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le 29 août 2016
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La preuve audiovisuel que le cinéma asiatique, peut nous dire beaucoup de chose.
J'aime le morts-vivant, j'aime beaucoup les morts vivants alors quel ne fut pas ma surprise lorsque je me suis aperçu en milieu de film que, l'aspect horrifique du zombie n’était là qu'en second plan . Comme un outil pour peindre une toile parlant de notre individualisme inhérent et de notre capacité à penser à autrui. Et ce par le prisme de plusieurs duos, celui d'un père acharné au travail et sa fille qu'il ne comprend pas, où encore celui d'un couple fusionnel en l'attente d'un bébé. Le film nous pose comme principale question que sommes nous prêt a faire pour un autre qui n'est pas moi? De plus une ambiance sonore et une photographie qui s'adapte au fil scénaristique parfaitement. le seul hic: serait un scénario trop prévisible par moment
Toute la scène de la gare est ultra prévisible.
Créée
le 2 févr. 2019
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