La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
80 j'aime
4
Le feu ayant éclaté dans un pensionnat, six jeunes filles sont reconduites à l'improviste chez elles et surprennent leurs parents. Le film précise bien dans un carton introductif qu'il ne s'agit pas de critiquer certaines familles, celles-ci constituant des exception. Oui, nous sommes en 1943, et nous sommes assez loin du modèle laborieux si cher au maréchal Pétain. Ceci dit, la satire est gentille et a parfois de l'esprit malgré le peu de vivacité de la mise en scène. Comme souvent dans les films de cette période, c'est l'interprétation qui retient l'attention. Avec entre autres le talent du grand Pierre Larquey, de Gaby Morlay, de Fernand Ledoux et de Louise Carletti. Mention spéciale à Renée Faure, dans un rôle plutôt effacé qui ne l'empêche pas de briller à sa façon, humble et sans afféterie.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mon Occupation favorite
Créée
le 12 janv. 2019
Critique lue 164 fois
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
80 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
74 j'aime
14