A force with no name.
Le désert, des migrants mexicains, un texan psychopathe bien décidé à régler le problème de la porosité des frontières à sa manière : le scénario de Desierto tient sur l’épine d’un cactus...
le 6 nov. 2016
31 j'aime
2
1 h 28 mn de poncifs enfilés comme DSK les bonniches. Rien ne nous sera épargné : les gentils immigrés con el nounours dans le sac contre le sadique redneck au cliquetant Carcano, flanqué de son féroce malinois dans son pick-up au Dixie Flag haut perché.
On s’ennuie, le scénario n’est pas écrit, les personnages sont sans épaisseur, et même le pauvre Jeffrey Dean Morgan (que j’ai pourtant à la bonne) semble se demander ce qu’il fait là. Les seuls personnages permettant un tant soit peu de sauver le film sont le désert lui-même - certains plans sont sublimes, notamment le passage sur le sel - et le chien (qui, pour la bonne mesure, et afin d’enfiler une perle supplémentaire, s’appelle Tracker... rien je vous dis.
Créée
le 27 mars 2017
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