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Ces bonnes surprises
C'est un film "bouche-trou", qui a atterri dans mon plan d'attaque pour la fête du cinéma 2008, parce que je n'avais rien trouvé d'autre à cette séance. Ce fut une grande et très bonne...
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Inexorable agonie...
Deux jours à tuer. La mort. prochaine. Inexorable. Comment la vivre ? Il semble que ce soit plus difficile pour les autres que pour soi.
Comment dire au revoir sans se faire regretter ?
Dans ce film, Antoine, admirablement joué par un Dupontel au sommet de son art, va faire un choix. Un choix par faiblesse. Un choix par lâcheté. Ou bien un choix pour alléger le poids que devront porter les autres.
La première partie du film, jubilatoire, se regarde avec le fantasme de pouvoir faire comme Antoine, tout balancer sans fard à la face de ses proches ou de ses collègues. Tout va alors à 100 à l'heure.
La suite se révèle plus étrange, sans savoir où l'on va, pourquoi on en est là. L’Irlande est belle, le cadre apaisé. La rencontre, forte d'un passé d’incompréhensions ressassées, fait resurgir la souffrance.
Et puis soudain, alors qu'on ne s'y attend pas, le dénouement. Net. Tranchant. Brutal. La rupture avec le reste. La compréhension. La chute.
La claque.
Comment dire au revoir sans se faire regretter ?
Dans ce film, Antoine, admirablement joué par un Dupontel au sommet de son art, va faire un choix. Un choix par faiblesse. Un choix par lâcheté. Ou bien un choix pour alléger le poids que devront porter les autres.
La première partie du film, jubilatoire, se regarde avec le fantasme de pouvoir faire comme Antoine, tout balancer sans fard à la face de ses proches ou de ses collègues. Tout va alors à 100 à l'heure.
La suite se révèle plus étrange, sans savoir où l'on va, pourquoi on en est là. L’Irlande est belle, le cadre apaisé. La rencontre, forte d'un passé d’incompréhensions ressassées, fait resurgir la souffrance.
Et puis soudain, alors qu'on ne s'y attend pas, le dénouement. Net. Tranchant. Brutal. La rupture avec le reste. La compréhension. La chute.
La claque.
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le 28 oct. 2012
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