Il faudrait essayer de bien se replonger dans cette époque de furieuse ségrégation (séparations dans les écoles les bus, les bars… etc.) pour comprendre le parcours et la démarche du réalisateur.
Et on doit être admiratif et ne pas oublier l'engagement de ceux qui défrichent le parcours vers la remise en question des poncifs de l'obscurantisme. La pigmentation a-t-elle un quelconque rapport avec l'amour?
Film très surprenant donc, et surtout joliment habile car toujours sensé, malgré des apparences de théâtre de boulevard ou de comédie américaine ringarde. Merci M. KRAMER.