Avec un titre pareil, Dirty dancing pourrait faire bonne figure au rayon classé X. C'est d'autant plus comique que Vestron Pictures, la boîte de prod qui a cru au scenario d'Eleanor Bergstein et à la productrice Linda Gottlieb n'existait que dans la distribution de la VHS, dominée à l'epoque par le marché du X. Dirty dancing est le premier long produit par Vestron pour les salles obscures. Je vous invite à regarder le docu, 1er épisode de la serie "The movies that made us".
Dirty dancing et l'histoire de sa fabrication -selon le docu-, sont deux jolis contes de fées, aux happy endings bien guimauves.
Loin de déniaiser, Dirty Dancing reniaise. Qui l'eut cru, j'ai aimé ça.