La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Disco, Le deuxième long-métrage de la norvégienne Jorunn Myklebust Syversen, par ailleurs plasticienne reconnue, traite d'un sujet dans l'air du temps : l'embrigadement dans des communautés religieuses que l'on pourra sans trop s'avancer traiter de sectes. L'originalité du film tient cependant à la personnalité de son héroïne, championne du monde de disco, et néanmoins portée sur le spirituel, dans un équilibre personnel quelque peu bancal. Disco, c'est en gros 30% de spectacles à paillettes et 70% de prêche que le film nous assène sans nécessairement donner de point de vue, sans doute sous-jacent, mais quand même ! Le personnage principal danse et chante avec Jésus et pour le reste assiste à des harangues moralistes qui feraient passer le catéchisme pour des sketches d'humoristes. Cet abus de palabres assommantes n'incite pas à la clémence pour un film très répétitif où l'on a tôt fait de se désintéresser des états d'âme un brin opaques de sa danseuse irrésolue.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Vus à l'Arras Film Festival 2019
Créée
le 18 nov. 2019
Critique lue 201 fois
2 j'aime
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
79 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
79 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
72 j'aime
13