Le petit Domas transcende la réalité dans ses rêves. Et il dort beaucoup, en particulier à l'école. Tourné 4 ans après La belle, son film majeur, le lituanien Arunas Zebriunas plonge à nouveau dans le monde de l'enfance. Mais cette fois, les adultes sont davantage présents, notamment les parents de Domas, bien mal assortis, une enseignante et même un général. Naktibalda un film charmant, un peu inoffensif, qui exalte la pureté de la jeunesse, la liberté de rêver et, un peu, la vanité de ceux qui détiennent l'autorité. Un message caché dans l'URSS des années 70 ? Qui sait ?

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le 4 mars 2021

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