Tony Scott a fondu un boulon
En fait, ce film, c'est comme un solo de 17 minutes de Steve Vai.
On salue la performance, oui bravo c'est impressionnant, ouh là là regarde j'accélère l'image et paf je la ralentis, et mon filtre jaune tu l'as vu? Ah ouais il est beau mon filtre jaune hein, c'est pas un filtre de pédé mon filtre jaune.. Hé regarde, je mets les dialogues à l'écran comme ça paf, puis ils y sont plus, et PAF! ils y sont de nouveau, putain t'as vu comment je suis fort hein, et tiens vas y je suis chaud là, je vais jouer avec la bande son là, ça va être fuuuuuun.
Et au final, ouais c'est un peu fun. Mais c'est surtout d'un creux abyssal. Dans le registre "je suis Tony Scott et je vais chercher un jeune scénariste chébran pour faire un film chébran", préférez LARGEMENT True Romance.