Une petite déception que cette nouvelle comédie. Et britannique par ailleurs , l'un des arguments de promotion du film sur les affiches. Tout comme les blockbusters Trumpiens , Dough suit un schéma scénaristique tout tracé qu'on a vu et revu avec une présentation des personnages (tous interprétés par une troupe de comédiens aussi sympathique les uns que les autres) et de leurs problèmes , leurs rencontres , l'épanouissement ; propice à l'avalanche des situations comiques. Puis vient la chute de ce bonheur et de cette légèreté. Sans oublier la fin où tout se reconstruit et finit dans la plus grande joie ; normal , c'est un feelgood movie.
On ressort alors avec la banane au visage et heureux que ça se termine. Même si le film peut paraître niais et facile , on ne va pas le condamner pour son message de coexistence de part les sourires qu'on lâche à quelque moment de la séance.
Et puis voir la tête de Jonathan Pryce n'a pas de prix.