Si le cinéma français n'avait qu'une seule œuvre dont on devait garder trace, si les souvenirs de l'existence d'une décennie n'avait qu'un unique film comme archive, si les contradictions du 7e art nous poussait à un dépassement dialectique, si nous devions trouver un tout nouveau testament, si les modèles de jeu, de réalisation, d'écriture, de montage, de scénographie, de mise en scène, de direction d'acteurs devaient repartir d'un nouveau point, s'il fallait que l'humanité s'accorde sur un programme, alors dans tous ces cas de figures il n'y aurait pas de débat, pas de discussions, pas de comparaisons possibles :
Il n'y aurait que Doutes, chronique du sentiment politique.