Inspiré du roman, réalisé par Fisher en numérique anamorphique technicolor avec un budget minuscule, c'est un succès. Prince des ténèbres commence par la fin du 1er, pour reprendre le mythe des créatures, avec les personnages. Un quiproquo lance l'intrigue prévisible avec un style académique qui ouvre les portes dans le château du Comte.
Les facilités scénaristiques réduisent l’intérêt, en se concentrant sur l'ambiance fantastique qui augmente la violence, jusqu'au retour de la créature. Les événements passent du réel à l’irréel pour amener vers la confrontation qui peine à rester crédible tant l'histoire reste d'une évidence ordinaire. La chasse habituelle aux succubes maléfiques s'enclenche, lors d'un dénouement violent, pour cette œuvre qui manque cruellement d'originalité.
Entrées Salles France : env. 860.000.
> https://youtu.be/aQbNzRh17sw?si=R3nxYkzpkpJQ9YFb