Dragon Ball: Episode of Bardock
5.9
Dragon Ball: Episode of Bardock

Court-métrage d'animation de Yoshihiro Ueda et Tadayoshi Yamamuro (2011)

Cet épisode est divertissant tout en étant complètement incohérent. Et c'est intéressant d'en faire une critique pour parler du problème de l'exaltation du public pour les redites. En effet, la banalisation des redites aboutit à une adhésion passive du public à des choses qui n'ont ni queue ni tête, et c'est vraiment de cela que j'ai envie de parler.
Nous avons donc un épisode de 20 minutes, format très court, ce qui nous vaut un produit dynamique, mais aussi déjà une histoire extrêmement rushée. Cet animé fait par ailleurs directement suite à un précédent film OAV dérivé de l'univers du manga Dragon Ball. Nous avions eu droit à un OAV de 40 minutes qui racontait la destruction de la planète Vegeta par Freezer en nous offrant un récit original sur la fin de vie du père de Son Goku.
Ici, les premières secondes ne résument rien, mais ce n'est pas un problème, tant la matière est connue. Cependant, je pense tout de même que quelqu'un qui n'aura pas vu l'épisode de 40 Baddack contre Freezer sera décontenancé, ce qui évidemment n'était pas mon cas. En clair, en quelques secondes, il faut identifier la scène de destruction de la planète Vegeta par Freezer, avec la présence de témoins passifs tels que Zarbon et Dodoria. Si on n'a pas vu l'OAV Baddack contre Freezer, en gros, il faut réagir au quart de tour : identifier ce sosie de Goku en armure de l'armée de Freezer en tant que Bardock (le titre de l'épisode nous y prépare) en train de se faire buter par Freezer, sachant que ceux qui ont lu Dragon Ball ou vu ses adaptations en séries animées savent que le père de Freezer se rappelle d'un saiyen au même visage que Goku qui lui avait tenu tête. Toutefois, sans avoir vu l'OAV Baddack contre Freezer, difficile de comprendre pourquoi derrière Baddack il y a des soldats non saiyens de l'armée de Freezer qui sont du coup sacrifiés par l'attaque de Freezer.
Nous sommes d'accord, cet épisode est une suite à l'ancien OAV, ça évitera de blâmer le côté lapidaire quoiqu'efficace de l'intro.
Mais cette intro se termine sur un événement fondé sur rien. Sans raison, Baddack est précipité dans le passé. On nous fait un court instant de suspense. Bardock (je m'amuse à hésiter sur son nom) se réveille après l'attaque de Freezer, reconnaît sa planète, mais pas l'implantation de son peuple saiyen. A la place, on a de mystérieux extraterrestres. Bardock va finir par comprendre qu'il a fait un bond dans un lointain passé, mais rien n'a été fait pour justifier cela au plan du scénario. Il n'y a même aucun mystère d'installer à ce sujet et il n'y aura aucune explication à cela à la fin. C'est assez merdique. Il suffisait de parler d'un mage saiyen qui, avant l'attaque de Freezer, aurait utilisé un pouvoir sur Baddack, etc. Ou il aurait fallu développer l'idée que Bardock était un élu saiyen (avec à la fin la révélation qu'il était un super saiyen), et cette élection magique n'irait pas seulement de pair avec la force, mais il y aurait un rite sorcier à l'origine de sa précipitation dans le passé pour sauver son peuple en refaisant l'histoire. Une autre idée, puisque dans l'OAV précédent, la malédiction de Baddack est de prévenir l'avenir, on aurait dû à tout le moins avoir un court-circuit entre une vision de l'avenir et le lancement de son attaque contre Freezer, ce qui aurait fait a minima une explication magique par accident à la projection de Baddack dans le passé, et l'idée aurait été encore mieux soutenue si cette vision avait été celle, mais non interprétée clairement par Bardock, de Goku en super saiyen après la mort de Krilin. Rien n'a été fait pour rendre cohérent la projection dans le passé. C'est gratuit, et c'est con !
Pourtant, dans ce cadre, un truc au moins a été super bien pensé, c'est le liquide vert des saiyens pour se soigner. Il est utilisé de manière moderne avec des capsules d'immersion, mais là on a un système ancien de pommade. On comprend que Freezer a repris ce procédé aux saiyens, et que ceux-ci ont trouvé ce liquide sur la planète Vegeta, jadis Plant. C'est grâce à ce liquide que Bardock identifie qu'il est sur la planète Plant devenue Vegeta et qu'il a affaire au peuple que les saiyens ont éradiqué : les tsufuls, puisque ceux qui connaissent l'histoire des saiyens savent que la planète Vegeta n'est pas leur planète d'origine, mais qu'ils l'ont envahie.
Bref, le plongeon dans le passé est gratuit et rend le début de l'animé catastrophique, mais le récit est ensuite bien conduit, on se prend au nouveau jeu. Là, même si cela ne contentera pas les fans d'un animé plus sérieux, plus adulte, on a l'histoire d'un tsuful enfant tout faiblard qui s'intéresse à cet asocial de Bardock. Bardock s'adoucit petit à petit. Contrairement à d'autres gens qui commentent cet épisode, je n'ai pas de problème réel avec l'adoucissement de Bardock. Il a vu ses potes massacrés, il a vu sa planète se faire détruire en étant doublement aux premières loges, puisqu'il était le mieux placé pour voir la destruction et était même la première victime de l'attaque de Freezer. Peut-être que si on enchaîne les deux épisodes à la suite, il est un chouya trop humain dans cet épisode de 2011, mais ce n'est pas hyper sensible, ni franchement problématique. Puis, j'ai beaucoup aimé la scène où le tsuful répéte plusieurs "Bardock" en riant.
Mais, c'est après que ça part vraiment en vrille. Comme par hasard, deux mercenaires de Freezer attaquent la planète à cette époque-là, belle coïncidence de calendrier ! Bardock les tue sans vouloir de la reconnaissance des tsufuls. Puis, l'ancêtre de Freezer, Chilled, vient en personne régler cette affaire. On a un mélange entre Mad Max et la vengeance personnelle qui passe en s'appuyant sur la banalisation des codes de ce genre de récit postapocalyptique.
C'est là que j'en arrive au titre de ma critique et à ce dont je voulais vraiment parler.
Cet OAV de 20 minutes, tout le monde l'a compris, nous offre une redite de la transformation d'un saiyen en super saiyen suite à une colère, et cela nous revaut un combat contre Freezer et la défense prise d'une planète. Les plus attentifs verront aussi qu'on nous redit les séries américaines du héros solitaire ombrageux. Et on part du principe que le public attend ce genre de produit et qu'il est content d'avoir les passages obligés avec une présentation un tant soit peu efficace, et tout cela permet ensuite de fermer les yeux sur les insuffisances et les incohérences du scénario.
Parmi les insuffisances, il y a le cas de Chilled, qui a un corps assez gamin et qui, surtout, n'évoluera pas de forme contrairement à Freezer sur Namek. Il y a une autre insuffisance grave, c'est que, certes, il est bien vu qu'en voyant le tsuful frapper par Chilled Bardock songe à ses camarades morts, vision qui revient plusieurs fois, mais le tsuful n'est pas mort et n'est pas un ami de longue date de Bardock, rien à voir donc avec la surprise de la mort de Krilin face à Freezer sur Namek, sachant qu'il n'y a pas que l'amitié. Krilin, c'est aussi le héros venu sur Namek, celui qui a occupé le terrain avant l'arrivée de Goku en veillant sur Gohan, celui qui a coupé la queue de Freezer. Krilin était un ami et un héros avec un sens du sacrifice et du dépassement de soi. Ici, scénaristiquement, il n'y a rien. Le tsuful se prend une baffe et pleure, et ça suffit à la transformation en super saiyen. C'est déjà la foutaise du grattement dans le dos des super saiyens de l'univers 6. C'est parce que la scène redit l'emblématique transformation de Goku sur Namek qu'on accepte, mais ici scénaristiquement il n'y a rien. On nous demande juste d'avoir l'intime conviction que le plongeon dans le passé est possible, que la transformation en super saiyen est possible.
Attardons-nous sur la transformation en super saiyen. Derrière cette transformation, il y a un schéma classique des récits d'action pour les jeunes. le héros est trop faible, puis se découvre une force qui le transcende, et cela en plein milieu du combat qu'il était en train de perdre. La marque au front de Daï dans Dragon Quest, c'est le même problème. Dans Saint Seiya, les chevaliers de bronze qui atteignent la vitesse des chevaliers d'argent pendant qu'ils les affrontent parce qu'ils ont la volonté, puis qui quand ils affrontent les chevaliers d'or ils chopent la vitesse de la lumière toujours en plein de milieu de combat où ils sont à l'agonie parce qu'ils ont la volonté, c'est toujours le même problème. Et c'est visiblement un problème culturel japonais, une croyance extrêmement naïve et dommageable en une détermination qui transcende la force physique d'un individu, même et parfois surtout quand il est au bord de l'épuisement. Je pense ouvertement que c'est de la merde qui rend assez détestables les combats de Saint Seiya et qui a en partie abîmé l'histoire de Dragon ball, même si Toriyama a souvent cherché à éviter la transcendance au milieu du combat. Celle-ci arrive avec le super saiyen sur Namek, mais cette transformation était préparée. Goku avait eu un nouvel entraînement, nous étions plus prêts à accepter une évolution de force qui ne se fondait pas sur la seule volonté. Même le super saiyen 2 est habilement préparé par un entraînement dans la salle de l'esprit et du temps, tandis que le super saiyen 3 est une acquisition de Goku hors combat. L'ultimate Gohan, c'est rapide, mais hors combat également. En revanche, le pouvoir super saiyen de Goten et Trunks, ce fut de la merde. Le super saiyen des saiyens de l'univers 6, c'est du n'importe quoi. Mais il faut aussi parler donc des transformations pendant les combats : super saiyen de Bardock ici, super saiyen divin bleu de Goku et Vegeta avec des évolutions en cours de combat, et puis l'Ultra Instinct lors du tournoi du pouvoir, Ultra Instinct qui n'est pas un état, une technique, mais bien une transformation comme a achevé de le confirmer son traitement et avènement définitif dans l'arc Moro, et on devrait parler encore des transformations successives débiles de Broly dans le film de 2018 toutes sorties d'un chapeau et d'une vacuité scénaristique sans fond.
C'est ça qu'on a ici, le syndrome Saint Seiya et c'est un syndrome qu'on a dans des tonnes de mangas et d'animés japonais. Et j'aimerais parler japonais pour leur dire de fuir ça comme la peste. Leur culture n'a aucun avenir s'ils entretiennent cette foutaise trente ans de plus, ils vont se laminer culturellement à continuer d'aimer ce truc-là.
Il faudrait des produits culturels japonais d'autocritique de ce fantasme qui semble cher à leurs productions pour la jeunesse, ce serait vraiment intéressant.
Les américains ont un peu ce travers sans doute, les européens l'ont plus en tant que spectateurs qu'en tant qu'inventeurs, tant quand ils inventent ils brident leur imagination en fonction des impératifs de vraisemblance et de constructions rationnelles d'un récit. Mais si les européens se brident trop, à l'inverse ce délire gratuit des mangas est insupportable, il gâche trop d'oeuvres. Puis, c'est débile d'avoir des oeuvres qui mentent complaisamment, on aime bien d'avoir des oeuvres sur le dépassement où tout de même on a aussi un regard plus serré sur ce qu'est une confrontation à la réalité.
Là, j'ai même envie de dire que cet épisode de 20 minutes avec retour dans le passé et transformation en super saiyen, c'est presque plutôt ce que Bardock aurait pu aimer vivre et rêver pendant quelques secondes d'agonie. Il se serait raconté le scénario en dix secondes. Car l'épisode de Bardock, ce n'est qu'un fantasme sur le pouvoir de la détermination à se venger. Un humain qui voit sa famille se faire massacrer par un tigre, sa détermination de vaincre le tigre à mains nues elle ne sera jamais suivie d'effet, que je sache.
Pour justifier le pouvoir du super saiyen, il aurait fallu développer plus l'idée d'un rite magique, après tout on a l'amorce de l'idée avec l'orage, et on aurait dû avoir l'image de Krilin et Goku sur Namek, ce qui aurait aidé à y voir un sens mystique. Au passage, pourquoi Bardock n'a plus de vision du futur de son fils, puisque c'est une suite à l'OAV précédent ?
Passons !
Et pour achever de dénoncer ces redites, disons un mot de la fin ! On nous fait une fin à la Mad Max comme je l'ai annoncé plus haut, et j'ai vraiment bien insisté sur le fait que cet OAV redisait une séquence emblématique de Goku en super saiyen sur Namek face à Freezer, mais aussi les récits de héros solitaires ombrageux. En effet, à la fin de l'épisode, on nous fait d'un côté Chilled qui meurt en salle d'opération en passant le message qu'il faut avertir ses descendants du danger du saiyen aux cheveux dorés (pourquoi dans la VF ne pas dire la menace du "super saiyen", puisque c'est ça les mots exprimant la peur réelle de Freezer ?), ce qu'on croit une révélation scénaristique habile pour expliquer la peur de Freezer, alors qu'en fait c'est une explication bidon qui fait tourner cet OAV sur lui-même, et de l'autre côté on a un héros à la Max Max qui disparaît. On trouve que c'est une fin classique, prévisible, que le code du héros à la Mad Max est rempli, que c'est cohérent avec son évolution vis-à-vis des tsufuls.
Non mais, non mais, non mais, attendez un peu, là !? Il n'y a pas quelque chose qui cloche ! D'où les saiyens vont venir envahir la planète Plant, massacrer les tsufuls et la rebaptister planète Vegeta ? On peut raconter que Bardock est venu longtemps avant les saiyens, que les saiyens sont venus indépendamment de Bardock ensuite et sans le connaître ont massacré des tsufuls lointains descendants de ceux sauvés par Bardock, mais de une comment alors les saiyens pourront eux aussi connaître la légende des super saiyens, ce qui est mis en place dans Jaco et dans Battle of gods, et de deux cela fait encore de la coïncidence, puisque les saiyens vont venir envahir la planète où Bardack est déjà mort. On me répliquera que c'est logique : les saiyens ont envahi la planète des tsufuls, et Bardack est né sur cette planète, donc il n'y a pas besoin que Bardack serve à introduire ensuite les saiyens après lui sur la planète. Peut-être, mais j'ai du mal à me satisfaire pleinement de ce raisonnement. Il est un peu tordu.
D'ailleurs, il y a un autre problème. Au début de l'épisode de Bardock, Freezer dit clairement qu'il va ainsi empêcher l'apparition du super saiyen. Jamais il n'est question de cela dans Baddack contre Freezer. Evidemment, nous sommes en 2011, et c'est une adresse aux spectateurs qui connaissent et Dragon ball le manga, et aussi les suites ou anticipations Battle of gods, Jaco et Dragon ball Super. Cependant, il y a un problème de solipsime. Freezer a toujours connu un passé où Bardock avait tué son père. Or, Dragon Ball n'est pas conçu sur ce solispsisme comme les scénarios pourris de chez pourris de Terminator ou Steins : Gate qui sont des solipsimes absolus et donc de mauvais scénarios, puisque du coup l'univers dans l'infini de son passé comme dans l'infini de son avenir est tributaire d'une boucle causes-conséquences d'un petit espace de temps lié par du voyage temporel, ce qui révolte tout esprit un tant soit peu logique. Il n'existe aucune forme de récit cohérente sur le voyage temporel, ils posent tous problème au plan de la notion d'énergie. Mais, les solipsismes du genre Steins : Gate et Terminator sont les pires. Le principe des différentes réalités est absurde, mais on sait qu'on est dans un délire, et le principe de causalité s'applique au moins aux actions. Dans Steins:Gate ou Terminator, ils croient malins d'établir qu'on ne peut pas changer l'Histoire, mais c'est un mensonge énorme et une anomalie que les intellectuels vont goûter complètement à tort. En plus, cette idée d'impossibilité de changer l'Histoire est intéressante en mode tragique, mais là on nous fait deux modalités optimistes au contraire. Dans un cas, le mal ne peut pas changer le passé, dans l'autre on a une astuce pour faire que la boucle fonctionne. Mais la boucle est une anomalie qui nie la causalité temporelle, alors que l'événement qui fait la boucle n'est pas à l'origine du temps. Du point de vue conceptuel, c'est une merde sans nom et c'est un mensonge aussi du coup sur la vie, sur nos combats, sur les choix à faire, etc. Et c'est même une négation de l'affirmation du vivant, puisqu'on réduit tout à une boucle mécanique. C'est à la limite bon pour les philosophes de l'ultradéterminisme absurde, mais comment concilier cela avec le récit de valeurs humaines à ce moment-là ?
Dans la lignée de Retour vers le futur, Dragon ball est fondé sur un truc évoqué dans Terminator mais non assumé qui est le principe des mondes parallèles résultant des distorsions causés par les voyages dans l'espace-temps. Cela révolte aussi la logique pour ce qui est des forces en physique, puisqu'un individu voyageant dans le temps est une petite masse énergétique qui crée tout un univers à chaque voyage dans le temps, mais c'est moins absurde que les solipsismes de Terminator ou Steins : Gate dont les boucles nient la causalité temporelle du passé par rapport à elles-mêmes, ce qui est une aporie qui là dépasse tout.
Il faut dire que même l'idée d'un retour dans le passé qui change l'Histoire sans créer aucune réalité parallèle pose aussi un problème sur l'idée d'énergie.
Enfin, bref ! Dans Dragon Ball, Trunks du futur a un monde distinct de celui que nous concevons, qui, au passage, n'est du coup que le second, pas le premier ! L'univers normal c'est celui de Trunks du futur détruit par Zeno dans Dragon ball Super. En réalité, même pas, vu ce serait même plutôt celui où C-17 et C-18 ont gagné. D'ailleurs, dans Dragon ball Super, la résolution de l'arc avec Goku black est fortement problématique. Seul le monde que nous suivons s'en sort réellement, alors qu'il n'a même pas été mis en complet péril dans cet arc. Goku et Vegeta sont invités à sauver le monde de Mirai Trunks, et ils ont échoué, il y a une solution de compromis avec un univers intermédiaire qu'on crée pour l'occasion, mais c'est pas très convaincant comme résolution de conflit. Cependant, là, on a compris comment ça marche le voyage dans le temps et la création de réalités parallèles, même s'il y a plein d'incohérences dont plusieurs dont j'ai même pas parlé. Or, là dans l'épisode de Bardock, ce n'était pas plus pertinent que Freezer ne dise pas un mot du "super saiyen" au début. En effet, cela aurait enlevé une contrainte scénaristique d'une intro qui annonce clairement l'intérêt de l'épisode, mais on aurait eu un scénario plus cohérent et on aurait pu parler d'une nouvelle timeline, on serait passé de la timeline où Freezer ne connaît pas la légende à celle où il la connaît.
J'ai sans doute pinaillé, mais par plaisir de la réflexion, pour toute cette fin de critique sur le problème de la timeline, mais tout ce qui précède dit bien le problème des animés dont les scénarios sont indigents mais non reconnus comme tels parce qu'ils suivent un déroulé canonique avec des attentes.

davidson
3
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le 29 nov. 2020

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