Pour devenir disciples de Tortue Géniale, Son Goku et Krilin doivent délivrer une princesse assoupie.
Le métrage suit un schéma identique au précédent volet, mais au lieu d’être médiocre dans les scènes inédites, l’intrigue de celui-ci est le développement sagace et divertissant d’une péripétie auxiliaire, de la commission perverse demandée par le papy lubrique qui est de lui dénicher une fille avenante. De plus, la cocasserie d’Oolong est toujours aussi efficace. Néanmoins, le succès de l’anime est dû en partie aux antagonistes, mais ici, on a juste un Lucifer maussade et simple recyclage de l’ange déchu et de Dracula.