Il m'aura fallu quelques secondes au début du film pour réagir sur le fait que Dredd avait un rapport avec Judge Dredd (et oui, à 3h du mat' mes neurones sont visiblement en slo-mo). En parlant de slow motion, Pete travis, le réalisateur, aime tellement les ralentis qu'il a inventé une drogue pour en justifier l'abus à des moments totalement inutiles. Fort dommage, moi qui suis friand de la technique.
Bon, c'est trash, ce qui est un bon point pour moi. Par contre qu'est ce que c'est niais. Paye ta bouche vers le bas pour faire méchant/énervé, paye tes incohérences comme "je me recoud le trou fait par une balle, mais qu'à l'avant, pas à l'arrière", paye ta méchante en carton, etc.
Dredd aura eu le mérite de gonfler mon égo car - je précise que je n'avais rien lu sur le film avant de le mater - j'avais reconnu l'acteur alors qu'on ne voit que sa bouche tout du long. Epic win !
Judge Dredd m'avait laissé sur ma faim, Dredd aura à peine fait mieux, c'est moyen, sympa à regarder mais sans m'éclater les rétines.