Voilà une oeuvre dont la finesse n'est pas proportionnelle à la longueur. Monobloc, robotique, glacé, Drive my car, étire son vide pour asséner ses épaisses symboliques. Il faut bien trop de silence pour que l'émotion affleure enfin... Mais on à l'impression qu'on est allé bien loin pour si peu, quelques regrets seulement. On se demande pourquoi une telle dithyrambe ? Le film n'apporte pas de réponse !

hubertguillaud
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le 24 févr. 2024

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