Le meilleur du kitsch des années 80
Qui n'a pas été troublé par la vision d'un Sting éphèbe, presque nu, le corps luisant de transpiration, les muscles bandés, l'œil exorbité de celui dont la coke remplace l'oxygène de l'air, vibrant devant la vision d'un Baron Harkonnen ventripotent et pustuleux se baignant du sang d'un pauvre serviteur vierge.
Qui n'a pas été bouleversé jusqu'à se rouler par terre de rire par la grandiloquence des dialogues de la version française, d'une grande époque où l'ont savait encore comprendre une œuvre avant de la traduire.
Et cet esthétisme kitsch qui arrive à marier différents styles de manière cohérente sans en trahir aucun.
et la musique de Toto, pompeuse à souhait, digne représentant d'un rock symphonique à jamais disparu.