La Galice jusqu'à l'hallali
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Miniaturiste de la société japonaise, celle de l'après-guerre, Susumu Hani cherche moins le réalisme que des instants de vérité, à travers un récit qui délaisse le classicisme des grands maîtres pour un style très marqué Nouvelle vague. Outre la condition des exclus de la croissance capitaliste, le film interroge la nouvelle place des femmes, elles aussi marginalisées, pour la plus grande partie d'entre elles, dans des rôles de femmes au foyer. Le rapprochement entre l'une d'elles, oisive, avec un SDF flanqué d'un gros chien noir et d'une fillette aveugle, joue un rôle symbolique. Le côté quasi documentaire de certaines scènes et le paysage sinistre de bidonvilles côtoyant de grands immeubles s'avère très déstabilisant mais une évidence s'impose : Sachiko Hidari est une actrice exceptionnelle.
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Créée
le 3 janv. 2024
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