Après avoir dévoré d'une seule traite la série Le Serpent, je redécouvre cette œuvre érotique, en copie restaurée, se déroulant dans le même cadre, Bangkok, et à la même époque, Emmanuelle !
Le charme désuet des années 70, une certaine manière de filmer qui pourrait le faire passer pour du cinéma d'auteur, Sylvia Krystel est d'une plastique troublante et irréprochable, il y a quelques scènes saisissantes comme cette Jaguar Type E verte traversant un village thaïlandais. Emmanuelle est une véritable curiosité aujourd'hui, une invitation au voyage, les années lui ayant apporté un certain cachet, les scènes de nus étant à la limite plus softs que dans certaines oeuvres tout public actuelles !