Queen Latifah, en femme d'action badass, élevée à la dure par un militaire de carrière, qui se coltine à elle seule une bande de rednecks white trash néo nazis dans un parc à caravanes au beau milieu de nulle part, pour sauver sa famille, à la seule force de ses poings et... d'un bout de bois... il fallait oser. Félicitations au monteur crédité nulle part (le pauvre doit se planquer) qui tente de rendre crédible cette séquence "d'action" trépidante qui se rapproche plus d'un documentaire animalier sur un petit veau pas encore bien coordonné qui apprend à marcher que du dernier John Wick. Comme au monteur des derniers Steven Seagal : chapeau les artistes ! Et hop, Golden Raspberry Awards dans la poche pour la "femme d'action" la moins crédible depuis.........
End of the road est un énième téléfilm Netflix de consommation courante, uniquement produit pour venir gonfler son catalogue et "faire le nombre". Pathétique entreprise qui peut tout de même servir de bon somnifère. De là à ce que la séance soit remboursée par la Sécu'... à ce compte-là, mieux vaut revoir Interceptor ; au moins, on se marre.