The prettiest one
Est-ce que j'ai regardé ce court-métrage uniquement pour Ana de Armas et sa beauté spectaculaire (particulièrement dans cette robe rouge) ? OUI.
Par
le 28 avr. 2024
1 j'aime
« À lui seul, le terme « égérie », qui s’est imposé depuis quelques années, est symptomatique du glissement qui s’est opéré : une actrice n’est plus l’inspiratrice d’un artiste – ce qui, en cantonnant les femmes au rôle muet de muses, en les réduisant à leur photogénie et à leur sensualité, pouvait déjà être agaçant –, mais celle d’une marque ou d’un produit, dont la démarche se trouve ainsi anoblie, auréolée de toute la gloire et tout le mystère de la création. Et la publicité n’est plus un fléau que l’on subit ou que l’on fuit, mais, au contraire, une production culturelle à part entière, que l’on est censé rechercher et attendre. » — Mona Chollet, Beauté Fatale (2012)
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Lumière de ma vie, feu de mes reins : films vus en 2020
Créée
le 4 sept. 2020
Critique lue 199 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Entering Red
Est-ce que j'ai regardé ce court-métrage uniquement pour Ana de Armas et sa beauté spectaculaire (particulièrement dans cette robe rouge) ? OUI.
Par
le 28 avr. 2024
1 j'aime
Du même critique
Loin de l’explosion musicale et passionnelle promise, Cold War souffre en fait d’un terrible manque de crédibilité : la dichotomie fond/forme y est telle que ces derniers, irréconciliables, semblent...
Par
le 23 oct. 2018
33 j'aime
5
Jessica Forever est décrié précisément pour ce qu’il incarne : la possibilité d’un autre cinéma, en tout cas d’une autre façon d’envisager le Septième art. C’est en ce sens qu’il est un film...
Par
le 5 mai 2019
13 j'aime
3
S’il n’est pas de ces films dont la bande annonce vous laisse une envie inconditionnelle de vous rendre au cinéma, une fois installé dans la salle, Grand Froid se révèle surprenant en bien des...
Par
le 20 juin 2017
12 j'aime