Faire boire son sang à d'autres pour leur offrir l'immortalité ; on a vu ça ailleurs (et de la part d'un personnage qu'on représente toujours avec les cheveux longs en plus -chez les vampires ils sont dans ce film censés repousser instantanément quand on les coupe-)...
ll en va en outre des Vampires comme des sept nains de Blanche Neige ou des Schtroumpfs : certains sont timides ; tandis que d'autres ont un côté prof, ou sont colériques... Mais ils sont tous crypto-gays (il y a d'ailleurs -conformément à l'image que les Américains ont de nous- une sorte de "French Connection" dans ce film, de La Nouvelle Orléans à Paris...), ce qui ne convient pas à tout les acteurs : Brad Pitt par exemple, dont le jeu apparait emprunté pour la plus grande partie du long métrage (on sait que les scènes des films sont souvent tournées dans le désordre) ; tandis que Tom Cruise s'en sort mieux (a-t-il fait lui-même ses cascades, comme d'habitude ?)...
Il faut à ce titre faire une mention spéciale à la jeune Kirsten Dunst, qui crève l'écran comme on dit.