Une petite université publique respectable et respectée au fin fond de l'Etat de Washington, un cadre naturel et verdoyant qui ne peux qu'inspirer la sérénité et la confiance. Des gens souriants et aimables. Et pourtant...
Et pourtant, c'est bien cet université sans histoires qui va devenir la métastase la plus violente du cancer qui ravage le monde occidental depuis plusieurs décennies.
Une poignée d'individus ayant depuis peu des poils sur leurs parties génitales vont sans scrupules et avec une détermination effrayante instaurer un climat sectaire impitoyable, avec une arrogance et un jusqu'au-boutisme assumé qui feront passer Goebbels et Beria pour des collègues d'apéro.
De quoi s'agit-il me direz-vous?. Et bien il s'agit de race, de couleur, de repentance, de domination, de victimisation, bref, de progressisme.
Cette bande de sauvages intellectuels qui se croit l'incarnation d'une morale de droit divin, va passer de la théorie à la pratique en déployant un racialisme totalitaire avec une intransigeance digne des heures les plus sombres des pogroms staliniens.
On ne parle pas de race supérieure et inférieure, on parle de race victimaire et de race tortionnaire. Le blanc est de jure coupable de tous les maux de la Terre car blanc, et le non-blanc est de facto la victime des blancs car non-blanc. Cette théorie progressiste, si l'on devait la placer sur un échiquier politique, renverrai immédiatement Christine Angot et Rokhaya Diallo sur l'ultra droite comme l'aiguille d'un compteur Geiger placé au centre du réacteur N°4 de Tchernobyl.
Les élèves blancs ou identifiés comme blancs sont marginalisés, épiés, surveillés, contrôlés, humiliés en permanence. Les professeurs sont terrorisés, également humiliés publiquement, accablés, même séquestrés avec l'injonction menaçante d'accepter les revendications absurdes des personnes de couleurs, et en fin de compte blasés, résignés, déshumanisés.
Propagande, humiliations, molestations, insultes, menaces, harcèlement, haine, violence verbale et physique, refus de tout dialogue. Ces ultracistes du progressisme ne vont reculer devant rien, se croyant tout permis, car victorieux par KO de la bataille des idées.
Et pourtant je suis convaincu que nous, les blancs sommes directement responsables de ce genres de situations, car nous les avons laissés faire, laissés agirs, laissés prospérer. Nous avons capitulés dans cette guerre totale des idées.
Nous nous sommes soumis.