Un Takashi Miike version Hollywood chewing-gum, chewing-gum au gout très frais, Hollywood.
Déjà que j'aime beaucoup moins le cinéma niqué qu'avant, ici c'est double dose dans chaque narines, plus tu crois que ça va s'arrêter, plus c'est encore pire, si quelqu'un avait l'intention de se distraire dans un certain confort, ..., ce sera pas avec ça.
Ainsi, comment juger quelque chose d'aussi piqué qu'aussi fourni...? En me concentrant encore une fois sur la manière dont je l'ai vécu, péniblement, du coup.
J'ai pas ri, j'ai pas été estomaqué, bluffé, amusé, j'ai galéré à dépasser la première heure, puis pensant que je devais pas être dans l'humeur, j'ai déplacé au lendemain, ou j'ai quand même galéré à dépasser la deuxième heure.
...
En vérité je ne me l'explique pas, mais je m'en balance royalement de ne plus y penser.
C'est trop pour moi.