Extension du domaine de la lutte par Alligator
D'après l'oeuvre de Houellebecq, un film sombre et drôle, à l'humour noir très amer, basculant très rapidement dans le glauque et le pathos parait-il contemporain. La sexualité y est maladive, frustrée. En fait celle de l'auteur nombriliste noie le propos, dégouline comme une trainée de sperme éjaculé avec difficulté. Neurasthénique, s'abstenir! José Garcia est parfait et montre à cette occasion l'étendue de son talent, assez bien exploité par Harel qui ferait mieux de ne pas s'aventurer devant la caméra. Faut pas gâcher la pellicule, allons!