A l’époque on se souvient des mauvaise critiques, mais Stanley Kubrick avait l’habitude, et il avait bien raison de ne pas vouloir s’adresser à la presse qui ne l’a jamais vraiment compris de son vivant. Il fallait qu’il disparaisse pour que les vestes se retournent, c’est fâcheux. Aussi comment certains pouvaient-ils émettre une critique sur le fait que son dernier film n’était pas à la hauteur d’un dernier film ! Excusez du peu messieurs les vertueux mais comment Kubrick pouvait-il savoir que ce serait le dernier et donc aurait-il dû faire en sorte de livrer une sorte de film testament ? Hé bien c’est un film testament et c’est une œuvre majeure comme tous ses films. Bien plus profond que certains ont voulu le dire. Ils avaient sans doute des lunettes de soleil pour le regarder. Sunglasses Wide Shut !!