Ce film de Risi est faible, non pas dans les trouvailles comiques signés Age et Scarpelli mais dans son scénario qui lui ne va pas chercher très loin. Un homme fait la rencontre d'une femme, les deux sont alors attirés et repoussés l'un vers l'autre comme le fait un aimant. Les situations découles sur tout un tas de gags drôles et bien trouvés, mais ça n'est malheureusement pas suffisant. Il manque un vrai fond au film pour être intéressant, il s'installe alors une histoire sans enjeu si ce n'est de réussir les scènes de comédies. Sur ce point c'est réussit c'est vrai, mais le reste n'a rien de captivant.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de Dino Risi
Créée
le 2 mars 2015
Critique lue 408 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Fais-moi très mal mais couvre-moi de baisers
Ça commence comme une bluette pour prendre un tour de comédie inattendue avec Ugo Tognazzi en sourd muet qui après avoir perdu ces sens lors d'une explosion les retrouve à la faveur de la machination...
Par
le 8 févr. 2015
1 j'aime
Un jeune couple se le point de se marier vacille quand le fiancé apprend des rumeurs désobligeantes sur sa compagne ; cela va le perturber au point de vouloir rompre les fiançailles. Des années...
Par
le 13 janv. 2024
Un Risi que je ne connaissais pas encore et qui vient d'être réédité en bluray (très belle copie), et verdict : RISI c'est (vraiment) le patron ! Magnifique triangle amoureux, assez proche dans mon...
le 20 avr. 2022
Du même critique
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
L'endoctrinement de la jeunesse Allemande est le sujet de ce Jojo Rabbit, qui voit Adolf Hitler comme la seule voie à suivre. Adolf est là constamment pour le petit Jojo, il est son ami imaginaire...
Par
le 28 janv. 2020
66 j'aime
16
Les années 60 à 70 ont été une très bonne période du cinéma, elles étaient inventives et permissives. Pourtant la censure était omniprésente, mais les cinéastes trouvaient tout un tas de stratagèmes...
Par
le 28 nov. 2019
55 j'aime
6
