Falcon Rising !
L’année DTV 2016 commence et le premier a pointé le bout de son poing n’est autre que ce Falcon Rising, emmené par Michael Jai White ! Il y incarne John Chapman, un homme vicitme du syndrôme...
le 5 janv. 2016
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Après José Padilha, c'est au tour d'Ernie Barbarash, collaborateur attitré de Jean Claude Van Damme, qui s'intéresse à l'univers des favelas. Et décrite un peu de la même manière. Gangrénées par le trafic de drogue entraînant meurtres et règlements de compte mais faisant aussi vivre des familles entières et des cliniques.
C'est bien beau mais Barbarash n'est pas là pour nous faire un documentaire sur le Brésil et critiquer le gouvernement en place. Non, il propulse Michael Jai White dans cet enfer pour résoudre un trafic d'êtres humains. Et plus particulièrement de jeunes filles mineures vendues à des Japonais. On reste dans la même thématique que Skin Trade.
Jai White va abattre une armée entière de yakuzas (moi aussi, je ne savais pas qu'il y en avait au Brésil mais dans le film on nous dit qu'ils sont là-bas depuis le début des années 70 alors soit je fais confiance au scénariste) et sauver à peu près tout le monde. Pour justifier une telle facilité au combat, on nous ressort l'habituel ficelle de l'ancien soldat des forces spéciales assailli par des visions où il revit son passé de combattant sans que finalement ce ne soit un réel handicap dans l'action.
Donc ouais, on ne va pas trop lui en demander. Mais ça reste un petit film de baston correct suffisamment rythmé dans sa deuxième partie. La seule différence avec le Commando de Schwarzy auquel on pourrait comparer Falcon Rising, c'est qu'il n'y a pas de punchlines balancées par les personnages après une scène d'action. Au moins, ça s'assume jusqu'au bout comme petit téléfilm carré de seconde partie de soirée. Et ça, j'aime cette franchise.
Créée
le 15 mai 2016
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