On retrouve les personnages exactement là où on les a laissés. Sur la canebière, le bateau "Malaisie" part pour l'Australie.
Plus mélodramatique que comique, cette deuxième partie de la trilogie familiale verse dans la larmiche à grosses gouttes. Et à part les trémolos de la voix d'Orane Demazis qui commencent sérieusement à m'irriter, j'ai bien du mal à en dire du mal.
C'est toujours bien écrit. Certaines expressions tombent dans le mille.
La réalisation d'Allégret, moins statique que celle de Korda, offre un peu plus de liberté de mouvements aux personnages. Les acteurs jouent juste. Et l'histoire est toujours aussi prenante.