Inutile de faire un pitch, il faut avoir vu le 1er film de la série, si vous aimez, alors lancez vous pour les autres, encore plus déjanté, encore plus gore, encore plus drôle.

TintinHtintin
8
Écrit par

Créée

le 26 févr. 2017

Critique lue 77 fois

Tintin Htintin

Écrit par

Critique lue 77 fois

D'autres avis sur Feast II : No Limit

Feast II : No Limit
Bavaria
5

Critique de Feast II : No Limit par Mickaël Barbato

Alors certes, les plans lors des attaques sont toujours aussi tremblotants. OK, le scénario tient sur un grain de riz basmati : on y suit quelques rescapés du premiers qui, cette fois-ci, auront le...

le 29 avr. 2011

5 j'aime

1

Feast II : No Limit
SlashersHouse
5

Le diner est re-servi.

Etant donné que je me suis fais la trilogie des Feast dans le même week-end il était normal que j'enchaîne avec la critique du second opus (qui sera elle-même suivie de celle du troisième — goddamn...

le 12 oct. 2010

3 j'aime

Feast II : No Limit
Horse
2

Critique de Feast II : No Limit par Horse

Après un premier volet plutôt réussit (dans son style), John Gulager réalise cette suite encore plus déjantée. Et ce film va encore plus loin que son prédécesseur dans le cassage des codes et voit...

le 19 nov. 2012

2 j'aime

Du même critique

Il est de retour
TintinHtintin
5

Comédie prémonitoire ?

Le retour d'Hitler, Voilà un sujet qui pourrait se traiter assez facilement en tombant dans la caricature, le grotesque ou le ridicule, point de grotesque ou de ridicule ici. La caricature quand à...

le 30 avr. 2016

7 j'aime

Jeanne
TintinHtintin
1

Biopic "historique" (4 lignes)

Rarement vu un film aussi mal joué, impossible de s'immerger dans l'histoire tant les acteurs montrent en permanence qu'ils sont à coté de toute l'équipe du film ... sans parler des chansons...

le 29 mars 2020

5 j'aime

2

Valek
TintinHtintin
7

Violence verbale justifiée

Alors Valek est l'antithèse du politiquement correct, tellement souvent censuré qu'il en devient un martyr du net, ses premiers épisodes étant devenus malheureusement introuvables. Mais il fait du...

le 16 mai 2016

4 j'aime