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Esquisses d’esquif
L’inondation qui ouvre Flow et met à l’épreuve son protagoniste, un chat condamné à affronter sa peur de l’eau, métaphorise à merveille le dispositif mis en place par Gints Zilbalodis : du passé...
le 31 oct. 2024
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SensCritique>Films>Animation>Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau>Critiques>Avis de ZayeBandini
Shadow of the small cat
Comme quoi il n'est toujours pas nécessaire d'user de dialogue pour faire ressentir des émotions, comprendre la complexité des rapports au sein d'un groupe d'individus ou même nous offrir une galerie de caractères bien trempés.
À la fois fable écologique et grande navigation méditative, Flow n'en est pas moins haletant, le spectateur ayant la sensation d'être renversé à chaque vague, soufflé à chaque bourrasque.
Il est intéressant de noter que l'influence qui m'a le plus sauté aux yeux n'est pas du côté de l'animation mais du jeu vidéo, que ce soit pour les angles de caméra comme pour le gigantisme de l'environnement : Shadow of the Colossus.
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Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Sans le(s) chat(s) le film serait quand même un peu moins bien, 2024 images/seconde ? et 2024, sortir de la chambre noire pour aller dans les salles obscures
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il y a 3 jours
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