Après un "Sx Tape" extrêmement embarrassant, Rose revient avec une énième relecture du Prométhée moderne.
Blah blah Mary Shelley (ou Percy...) un livre...blah..blah.
Vous connaissez tout ce qu'il y a à connaitre, donc passons directement à ce film-ci.
Tout commence dans un laboratoire (eh oui, on fait pas ça chez soi!).
Lumière froide.
Des médecins sont fiers de leur création.
Surtout "Maman" (Carrie-Anne Moss) .
"Papa" (Danny Houston) est perfectionniste, donc il doute encore.
Le sujet n'a pas à grandir, (puisqu'il déjà adulte), juste à apprendre à vivre.
A faire fonctionner son corps.
Mais, il semblerait qu'il y ait un problème de conception biologique. Il faut donc mettre fin à cette expérience.
Mais la création de labo semble avoir un embryon de conscience de soi.
Il s'échappe...
Premier bon point: la dernière fois que j'ai vu le "darkside" de Downtown L.A filmé de manière aussi cru , c'était dans le génial "They Live" (Carpenter_1988)! C'est dire...
Ensuite, je trouve cette modernisation "clinique" très rafraichissante ( évitant le sempiternel style gothique Victorien ultra-usité).
On a tellement vu des milliards d'adaptations se ressemblant que du coup, j'ai pris plaisir à voir cette relecture (Prométhée moderne...Moderne !).
Bref, notre créature est physiquement normale au début (ça change de l'apparence habituelle avec cicatrices cousues et tout le tremblement) et se détériore graduellement au fur et à mesure que ses cellules meurent.
Tout ça pour dire que ça change de tous les autres ...kenstein movies.
Ce qui veut dire que je trouve cette version très intéressante et au plus près de l'actualité sociale de ce siècle.