Purgatory.
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Avec "Full Metal Jacket", Kubrick renoue avec ses sujets de prédilection, la folie et la violence, mais dans une œuvre abstraite et mentale (finalement bien dans le prolongement de "Shining" ou "2001"). La première partie nous fait assister à la transformation de jeunes garçons en machines à tuer, dans une structure d'enfermement propice aux dysfonctionnements destructeurs et pathologiques. La seconde propose une reconstruction très stylisée, voire onirique, d'un épisode du conflit vietnamien, qui débouche sur une vision cauchemardesque de la mécanique guerrière. Le tout est un chef d’œuvre de plus. [Critique écrite en 1989]
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Créée
le 18 janv. 2017
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