Voilà enfin le vrai Fast and Furious : le dernier film de George Miller, une forme de hallucinée de revenge survival movie.
De plus, la mise en scène se permet des folies encore jamais vues : des plans qui commencent filmés de très haut par un drone, et qui se terminent dans l’habitacle d’un véhicule fonçant à toute blinde dans l’outback australien.
Et l’exploit sera répété plusieurs fois, sans compter de multiples cascades aussi impressionnante que brèves. Le tout sur une musique inspirée d’un tube de David Bowie, The Man Who sold the World (qui fait repris par Nirvana).
J’ai trouvé la musique très bonne, car elle est à la fois bruitiste et excentrique.
Sur l’histoire, que dire ? Que c’est un peu toujours la même histoire de revanche, sauf que… Le rôle de Chris Hemsworth est plus complexe qu’il en a l’air dans son rôle de Dr Dementus, une sorte de chien fou baraqué.
Et, pour une fois, un autochtone australien et de la partie, dans un rôle très ambivalent.
De la rouille, du sang, de la sueur et de l’huile de moteur : un film qui va vous scotcher à votre fauteuil !