Je découvre peu à peu l'univers de "Godzilla" bien loin des Mizoguchi et des Kurosawa de mes jeunes années.
Là, déjà le titre est trompeur et racoleur, rien à voir avec le monstre originel, ça commence mal malgré une magnifique copie.
Ensuite, les "sauvages" noircis au cirage, les faibles comédiens et les dialogues ineptes et assez misogynes (même pour l'époque) ont plus joué sur ma distraction et mon endormissement que les trucages (entre Rampage et Thurderbird) et le scénar.
Tout gamin, j'aurai sans doute accroché en voyant les parents Kappa défoncer les avions et les chars de la force d'autodéfense nippone.
Là vraiment bof, au-delà de ma curiosité pour les films disons kitchs et/ou bis de l'époque.
Pas grave, il semble rester encore de nombreux (vrais) Godzilla à découvrir.
Et puis quelques Hammer pour le kitch anglo-saxon assumé et soigné. ;-)