à ne pas faire tomber dans le gouffre de l'oubli

Le film nous laisse quelques minutes de répit dans la maison des parents et immédiatement ça se corse pour le personnage. Il se lève la nuit, décide d'aller fumer une cigarette. Il est donc seul, dehors. Quelques secondes à peine et là, on voit le jardinier arriver en piquant un sprint. Étonnant, quelques minutes avant on nous parlait du grand-père de la jeune fille qui faisait de la course à haut niveau. Je note ce parallèle sans vraiment le noter, je pense juste qu'il s'agit d'une coïncidence à ce stade du film.
Le pauvre garçon entre ensuite apeuré à l'intérieur de la maison où il croise la mère (la seule à être réellement étrange depuis le début sans aucun doute possible). Cette dernière le force donc à une séance d'hypnose et là, dès le début de la scène, la cuillère das la tasse de thé. Je me souviens alors de l'insistance sur un plan sur la cuillère de la mère lors de la scène où ils boivent un verre en famille sur la terrasse. Je fais alors un petit parallélisme deux minutes avant que le film le confirme : ce sera son signe d'hypnose.
Après ça le film nous laisse encore nous reposer pendant plusieurs scènes, la tension monte vraiment très vite. Et puis tout s’accélère en un quart d'heure, ce que j'ai trouvé dommage (à mon goût bien sur). En effet, d'un coup on nous explique l'immortalité, à quoi sert le gouffre de l'oubli et puis BOUM tout le monde est mort.