Une légère critique du film live de Ghost in the Shell, ce film réaliser par Rupert Sanders n'est pas mauvais est représente bien les grandes lignes de l'oeuvre original (manga) de Masamune Shirow et de l'animé de 1997.
J'aimerai d'autant plus comparé l'animé de Mamoru Oshii et la version live qui sont les plus proches mais malheureusement, malgré un effort pour fidéliser les deux œuvres, la créativité américaine qui vise à rajouter des scènes et en couper d'autres, font de la version sortie en 2017, une mauvaise version à mon sens car en effet on retrouve l'esprit du Ghost dans l'ensemble mais les grande lignes ne suffise pas. je n'ai pas retrouvé la subtilité de l'animé, que ça soit dans l'histoire ou même dans les décors. les décors de l'animé son plus sombre et représente parfaitement la froideur des machines qui popularise le monde dans le film, alors que dans la version live, on retrouve un monde ultra moderne surplombé d'hologramme (à croire que Mélanchon dirige le japon à cette époque) qui offre un univers lumineux et quasiment chaleureux.
Bref je n'ai pas apprécié la version live autant que l'animé, j'aurais aimé retrouver certain plan avec la bande son de l'animé qui est sublime.
Pour terminer je dirais que la performance de Scarlett Johansson est à l'image de sa carrière et qu'elle permet au film de rester correct car elle transmet parfaitement le regard que l'on peut avoir sur Le Major, je n'en dirais pas autant pour Pilou Asbæk qui interprète le personnage de Batou, on ne retrouve en aucun cas la froideur du personnage, peut être est-ce le scénario qui le voulais plus agréable mais il ne colle pas avec l'image du personnage originel.