Jamais Dieu sans trois

Ah oui la trinité me direz-vous. Pourtant non, c'est juste le troisième volet de la saga puisque le number 2 n'était pas achevé.

Franchement là ça devient redondant : encore un procès, le pauvre padre noir meurt (dommage j'aimais bien son style) mais ne vous inquiétez pas ce n'est pas grave (voir ma critique sur le suivant), l'église brûle, la voiture est toujours de la même marque... Voilà donc la vérité sur les USA : ils passent leur vie en procès et dans les études, personne ne bosse dans ce pays et donc je comprends mieux pourquoi les Mexicains doivent immigrer en masse.

A part ça bien des téléfilms sont supérieurs à ce machin dans lequel, encore un fois, les acteurs semblent s'ennuyer à mourir.