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Un Enfer.
Le pire des 5, et pourtant le 3 était difficile à battre. La seule vanne qui a fait glousser la salle (assez remplie) a été le jingle de la qualité sonore (parmi les sponsors du début, lourdement...
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le 10 févr. 2025
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Clichés et autres fioritures
Mieux que les 2,3 et 4, ce volet bénéficie d’une autre approche que celle d’Olivier Baroux. Rouve insuffle le côté absurde qu’on trouvait chez les Robins des Bois de la belle époque, avec ce côté nawak foutraque que, personnellement, j’adore. Ne pas chercher à comprendre et juste regarder est un plaisir coupable qui laisse forcément des personnes sur le bord de la route.
Du coup, ce film est pas mal (bon, on n’est pas chez Bergman ou Welles, faut pas exagérer non plus) quand il se contente de ce genre de choses.
On a droit à un catalogue d’humour très con (humour de répétition, dialogues sans queue ni tête, gags qui se mettent en place avec tellement de visibilité que seul une taupe ne les verrait pas) mais sans réelle histoire. Et paradoxalement, c’est sur ces moments-là que le film est bon, car dès qu’il cherche à raconter une histoire, on s’emmerde car le récit est trop faible pour que quelque chose nous passionne.
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