Suite à des essais nucléaires, un sphénodon mute en créature gigantesque.
De monstre intimiste à plantureuse pompe à fric à la sauce américaine qui en ramènera d’ailleurs assez peu, la franchise a intéressé des studios états-uniens pour le vider de toute sa substance thématique pour la muer en vacuité creuse (il était un pamphlet envers la bombe atomique). Rolland Emmerich, en brave soldat, nous assène de constantes scènes bouffies d’action. Quid des effets spéciaux ? Ils sont déjà obsolètes, mais paradoxalement ils furent novateurs à l’époque. Néanmoins, le début est très réussi en imitant les codes du documentaire.