Nous voir offrir un tel film avec un budget de 15 millions de dollars c’est une sacrée leçon donné à Hollywood ! (Qui sort des films horribles visuellement à 200 millions !)
Mais au delà de cet aspect, c’est de part son écriture que ce Godzilla nous charme.
Ce passant juste à la fin de la seconde guerre mondiale, elle revient sur bon nombre de traumatismes de l’histoire japonaise, mais surtout ose remettre en question le fondement même de certains sujets de l’histoire nippone, à savoir les Kamikazes et l’honneur.
Jouissif au possible avec un Godzilla ultra destructeur, le film nous donne ce que l’on veut tout en étant intelligent.
Il lui aurait fallu juste un peu plus de rythme dans son milieu afin de basculer dans les très grands films.
Mais passer à coté serait vraiment dommage car tout le reste est excellent !