"Ce serait comme écouter les Beatles sans boules quies".
Une histoire d'or, d'évasion fiscale, d'étalon-or, permettent James Bond est parfait pour illustrer un cours d'économie. Le scénario (cette fameuse histoire de lingots, le fait que le méchant soit moins communiste que d'accoutumée) est sans doute ce qui lui permet de ne pas avoir trop mal vieillit contrairement à d'autres (Dr No en tête).
Une histoire de milliardaire qui n'aime que l'or, d'évasion fiscale (enfin), d'étalon-or et de Suisse (évidemment) permettent à Goldfinger de rester branché pour un "vieux film" (et d'illustrer un cours d'économie).
Entre le scénario, l'élégance de Sean Connery le bourru, son machisme flagrant également ("Ding, dis au revoir Félix" et claque sur les fesses), l'amour d'Auric Goldinger, le générique de Shirley Bassey, et les clins d'oeil à Skyfall (ah, on me dit dans l'oreille que c'est Skyfall qui s'inspire... pardonnez moi) comment ne pas aimer ce film de '66 ?