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Vraie nature
Le synopsis de Good One ne donne qu'une piètre idée de ce qui se joue dans un film réalisé avec une grande délicatesse par la débutante India Sonaldson, qui ne cache pas les quelques aspects...
le 16 oct. 2024
5 j'aime
Trop cool d'être alternatif et indépendant !
On a beau se ranger du côté du cinéma indépendant américain, on finit toujours par obéir à des clichés du genre : la musique pseudo-cool planante post-hippie new hipster, les personnages stéréotypés pseudo-cools alternatifs (avec évidemment au moins un représentant LGTB, sinon c’est pas cool ni alternatif), un récit qui n’en est pas un, car rien à dire.
India Donaldson semble vouloir nous raconter sa vie : des parents plutôt absents, divorcés, qui ne s’intéressent que superficiellement à elle ; elle qui, la pauvre, souffre parce qu’on ne s’intéresse pas assez à elle, qu’on ne lui pose pas de questions (snif !) et dont le père ne dit rien au petit salaud de pote qui lui propose de venir faire un tour dans sa tente – on remarquera au passage que les mecs sont de beaux salauds, sauf que le groupe de gays trop cools et sympas ; elle qui, la pauvre, est si seule, sans sa chérie avec qui elle ne peut partager de beaux moments comme le changement de tampons, obligée d'échanger avec elle via messagerie.
Un gros ramassis de clichés pathétiques. Une cinéaste incapable de mise en scène. Ni contemplation, ni réflexion. Du grand vide. Digne des merdiques productions Netflix.
3
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il y a 3 jours
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