La Micro : Green Room.

Alors que Blue Ruin avait su jouer avec les codes du film noir, Green Room change autant de couleur éponyme que d’univers : il sera ici question d’un slasher, genre formaté s’il en est. Le principe...

Après le prometteur Blue Ruin qui ravivait les couleurs d’un cinéma de genre endormi depuis trop longtemps, Jeremy Saulnier récidive en s’attaquant au slasher/survival viscéral. Troquant la couleur...

Et dire que je pensais avoir eu droit à mon lot de violence en visionnant Hostel le matin même... On avait beau m'avoir prévenu que cette édition de la Cinexpérience allait être particulièrement...

Belle histoire d'amour à la photographie magnifique. Pas parfait, mais agréable et poétique.

Sublime intro. Un vrai défaut : ses nombreuses intrigues, rendant le tout parfois brouillon.

Horreur visuelle et scénaristique, à éviter à tout prix, et ce même un lendemain de cuite.